Côte d’Ivoire : Qui sont ceux qui protègent l’usurpateur de titre VASSIDIKI DIABATE en dehors de l’ancien procureur de la république monsieur DOUEU OMER MICHEL ?

Dans notre dernière édition, nous avons rapporté que Monsieur VASSIDIKI DIABATE était activement recherché par la gendarmerie de Côte d’Ivoire et qu’il avait fui le pays. Selon nos informations, à son retour le dimanche 10 mars 2024 de Bruxelles où il avait trouvé refuge sur les conseils de son complice l’ancien procureur de la république près le Tribunal d’Abidjan-Plateau monsieur DOUEU OMER MICHEL qui lui aurait assuré un retour sans danger, il a été appréhendé par la gendarmerie et conduit dans leurs locaux où il a passé sa première nuit de garde à vue. A sa sortie de ladite garde à vue, nous avons réussi à le joindre. Au cours de cette conversation, il a affirmé que de toutes les façons, depuis Bruxelles, il avait déjà prévenu son frère du Groupement de Sécurité du Président de la République (GSPR) qui selon nous, serait l’un des responsables de ladite structure. On peut en déduire, qu’hormis l’ancien procureur monsieur DOUEU OMER MICHEL, VASSIDIKI DIABATE disposeraient d’autres soutiens en Côte d’Ivoire, Nous allons mener des investigations afin de vous révéler l’identité des concernés. Alain JOCAR

« Personne ne peut toucher à seul brin de cheveux de Vassidiki Diabaté en Côte d’Ivoire », selon l’ancien procureur DOUEU OMER MICHEL.

Nous avons réussi à joindre au téléphone l’ancien procureur, DOUEU OMER MICHEL, qui a juré que de son vivant, personne ne touchera à un seul brin de cheveux de Vassidiki Diabaté en Côte d’ivoire. Et, il poursuit en disant que les jours à venir, Vassidiki Diabaté sera de retour à Abidjan et que rien ne peut lui arriver. En cavale, depuis la Belgique, le sieur Diabaté a porté plainte contre un journaliste du nom d’ABDUL K. de l’organe de presse en ligne « OPERA NEWS », qui avait publié des informations concernant sa fuite vers la Belgique lorsque la gendarmerie s’est mise à ses trousses en Côte d’Ivoire. Cependant, une simple analyse soulève des questions : pourquoi n’était-il pas présent à Abidjan lors de la déposition de sa plainte ? Aurait-il quelque chose à se reprocher ? Pour quelqu’un qui ne se reproche rien, il serait venu à Abidjan pour organiser une conférence de presse, informer l’opinion nationale et internationale de sa présence, puis porter plainte. Un magistrat à la retraite, ancien procureur de la république d’Abidjan-Plateau serait-il au-dessus de la loi ? Les réponses à ces interrogations restent à découvrir. Alain JOCAR

France : Fureur des agriculteurs, la volonté d’un siège de Paris accroît les tensions.

La FNSEA et les Jeunes agriculteurs ont programmé huit points de blocage sur les autoroutes entourant Paris ce lundi. En réaction, 15 000 membres des forces de l’ordre se mobilisent, notamment autour de Rungis et des aéroports de Roissy et Orly. Emmanuel Macron tiendra une réunion à l’Élysée pour évoquer la situation agricole. La tension monte avec des agriculteurs en colère bloquant des axes vers Paris, et le gouvernement déployant un important contingent de forces de l’ordre. Les premiers blocages ont débuté à 14 h, avec des tracteurs obstruant l’A13 à Buchelay (Yvelines) et l’A4 à Jossigny (Seine-et-Marne).

VASSIDIKI DIABATE EN FUITE VERS LA BELGIQUE, ACTIVEMENT RECHERCHÉ PAR LA GENDARMERIE NATIONALE DE CÔTE D’IVOIRE

L’usurpateur de titre, Vassidiki Diabaté, un individu de triste réputation, est actuellement recherché par la gendarmerie nationale de Côte d’Ivoire. Il a réussi à échapper à une perquisition à son domicile et aurait quitté le pays. Selon les sources, la gendarmerie a effectué une descente à son domicile dans le cadre d’une enquête en cours. Cependant, Vassidiki Diabaté n’était pas présent lors de cette perquisition. Des informations non confirmées suggèrent qu’il aurait pris la poudre d’escampette. Pour rappel, Vassidiki Diabaté est le soi-disant Administrateur délégué et Secrétaire Général de l’ASBL RCEEDAO de droit belge, dissoute définitivement par l’arrêt de la Cour d’appel de Bruxelles, le 21 décembre 2023. Par ailleurs, cette ONG de droit belge n’a jamais été reconnue par l’Etat de Côte d’Ivoire. La gendarmerie continue d’enquêter sur cette affaire et le recherche activement. Selon nos sources, son complice l’ancien procureur de la République d’Abidjan-Plateau, monsieur Doueu Omer Michel lui aurait conseillé de quitter momentanément le pays afin qu’il puisse arranger son retour avec ses anciens collègues. Affaire à suivre… Alen Foulchir

Au Mali, la junte donne le coup de grâce à l’accord de paix d’Alger

Après huit années d’un fragile cessez-le-feu, le pouvoir militaire à Bamako a officiellement rompu l’accord de paix d’Alger en août 2023. Le communiqué du 25 janvier, annonçant cette décision, a été présenté à la télévision nationale malienne, mettant fin à un accord qui n’existait plus que sur le papier. Le lieutenant-colonel Abdoulaye Maïga a justifié cette rupture en accusant certains signataires de l’accord de devenir des acteurs terroristes et en reprochant à Alger des actes d’hostilité et d’instrumentalisation de l’accord. Les autorités algériennes ont contesté ces explications, soulignant que la décision était préparée depuis longtemps par la junte au pouvoir à Bamako. Les groupes rebelles du Nord, déjà en conflit avec le pouvoir central, anticipaient la rupture depuis l’arrivée de la junte au pouvoir en 2021. Cette rupture officialise une situation déjà présente sur le terrain depuis plusieurs mois, marquée par des affrontements armés et la reprise de territoires par l’armée malienne et ses alliés. La médiation algérienne tentait en vain de maintenir le fragile cessez-le-feu depuis huit ans. La junte a également critiqué l’ingérence supposée de l’Algérie dans les affaires intérieures du Mali, accusant Alger d’actes inamicaux et d’hostilité. Georges Balais

Présidentielle américaine 2024 : Donald Trump remporte la primaire du New Hampshire et se rapproche d’un duel avec Joe Biden

Après sa victoire dans l’Iowa la semaine dernière, Donald Trump a remporté les primaires républicaines dans l’État du New Hampshire, devançant Nikki Haley, son ancienne ambassadrice à l’ONU, après le dépouillement de la quasi-totalité des bulletins. Cette victoire confirme son statut d’ultra favori dans ces primaires, bien que sa rivale n’ait pas encore admis sa défaite. Considéré comme l’archi-favori de la droite américaine, Trump s’approche davantage de l’investiture et d’un possible affrontement avec Joe Biden lors de l’élection présidentielle de novembre. Après le dépouillement de près de 90 % des votes, Trump devance Nikki Haley d’environ 11 points. À la suite de l’annonce de la victoire de Trump, le président démocrate Joe Biden a mis en garde contre les enjeux cruciaux pour la démocratie. Dans un communiqué, il a souligné que Trump sera le candidat républicain et a insisté sur l’importance des enjeux pour la démocratie, les libertés individuelles, l’économie, et plus encore. Pendant ce temps, le président en exercice était en campagne en Virginie, près de Washington, aux côtés de sa vice-présidente Kamala Harris, abordant la question du droit à l’avortement et accusant Donald Trump de chercher à le restreindre de plus en plus.

CEDEAO : Le Mali, le Niger et le Burkina Faso se retirent immédiatement.

Trois pays d’Afrique de l’Ouest, le Burkina Faso, le Mali et le Niger, tous dirigés par des régimes militaires, ont annoncé leur départ immédiat de la Communauté Economique des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Cette décision a été communiquée via un communiqué diffusé à la télévision nigérienne. Les relations entre ces pays et la CEDEAO étaient déjà tendues depuis que des militaires ont pris le pouvoir par la force en 2020 au Mali, en 2022 au Burkina Faso et en 2023 au Niger. La CEDEAO, cherchant à restaurer le pouvoir civil, a imposé des sanctions sévères, allant jusqu’à menacer d’utiliser la force au Niger. Les trois pays accusent la CEDEAO d’être sous l’influence de puissances étrangères et de trahir ses principes fondateurs, la considérant comme une menace pour leurs citoyens. Leur retrait de la CEDEAO marque le dernier acte de rupture de leur part.

Burkina Faso : les dessous de la tentative de Coup d’état de janvier 2024

Selon nos confrères français, Compaoré Timpiga Apollinaire, l’homme d’affaires burkinabè, propriétaire de la Wenkudi Bank International, serait soupçonné d’être lié à la tentative avortée de coup d’État survenue en janvier 2024 au Burkina Faso. En effet, d’après les services de renseignement burkinabè l’un des instigateurs de cette tentative aurait été aperçu quelques jours avant, sortant de la résidence de M. Apollinaire Compaoré sise à Ouagadougou. Un communiqué émis par le Ministre de la Communication burkinabè, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, a indiqué que des fonds étaient en cours de déblocage et de transfert depuis l’étranger. Selon le ministre, l’objectif final de cette manœuvre était de créer des troubles propices à l’intervention d’un commando étranger, capable de porter atteinte à la vie de plusieurs autorités de la transition et de semer le chaos dans le pays. Pourquoi Apollinaire Compaoré aurait-il utilisé sa banque à cette fin ? Nous y reviendrons. Grégoire Balais

Equateur : Diana Salazar, l’implacable procureure, espoir de l’Équateur contre la corruption

Diana Salazar, surnommée la « Loretta Lynch équatorienne », fait preuve d’une intrépidité remarquable dans sa lutte contre les puissants. En décembre 2023, cette procureure générale a orchestré l’opération « Metastasis », une vaste enquête visant à dévoiler les liens de corruption et de collusion entre le narcotrafic et les institutions publiques. Cette initiative a abouti à l’arrestation d’une trentaine de personnes. Agée de 42 ans, Diana Salazar est une personnalité bien établie dans la lutte anti-corruption depuis plusieurs années. En tant que première femme noire à diriger le département de la Justice dans le pays, elle a été saluée en 2021 par le département d’État américain en tant que « championne de la lutte contre la corruption ». Titulaire d’un doctorat en jurisprudence et de plusieurs diplômes axés sur les droits humains et la protection des personnes d’ascendance africaine, elle occupe le poste de procureure générale depuis 2019. Avertissant que l’opération qu’elle mène, engendrerait probablement une escalade de la violence, elle avait anticipé les conséquences de cette enquête considérée comme cruciale dans la lutte contre la narcopolitique dans le pays. Malheureusement, ses prédictions se sont révélées exactes. Depuis l’opération, l’Équateur est confronté à une vague de violence sans précédent, déclenchée par les gangs de narcotrafiquants,

Chine : En 2023, le pays a connu l’une des croissances les plus faibles depuis 1990

En 2023, la Chine a enregistré une croissance de son Produit Intérieur Brut (PIB) à hauteur de 5,2%, comme l’a annoncé le Bureau National des Statistiques (BNS) le mercredi 17 janvier. Bien que ce taux suscite l’envie parmi les grandes économies mondiales, il demeure le plus faible en trois décennies, en dehors de la période de la Covid-19, marquée par une crise dans le secteur immobilier et des incertitudes qui compromettent la reprise de la deuxième puissance économique mondiale. Après trois années de restrictions sanitaires liées à la Covid-19, la Chine a levé ces mesures à la fin de 2022, stimulant ainsi son économie en début d’année dernière. Cependant, malgré ce rebond initial, la reprise s’est essoufflée et se heurte à divers obstacles, dont une confiance morose des ménages et des entreprises, entravant la consommation. Une crise inédite dans le secteur immobilier, un taux de chômage record parmi les jeunes, ainsi que le ralentissement économique mondial, impactent également les moteurs traditionnels de la croissance chinoise. Les analystes interrogés par l’agence Bloomberg anticipaient un rythme de croissance plus élevé (+8%). De son côté, la production industrielle a légèrement accéléré en décembre (+6,8% sur un an), après une hausse de 6,6% le

Taïwan : Appel à Pékin à respecter les résultats de l’élection présidentielle

Une victoire marquée par une intense tension. Lai Ching-te, le vice-président du Parti démocratique progressiste (DPP), a remporté l’élection présidentielle à Taïwan ce samedi 13 janvier, selon des résultats officiels presque définitifs, obtenant ainsi 40,2 % des voix. Suite à l’annonce des résultats, le lauréat a exprimé sa gratitude envers le peuple taïwanais, soulignant qu’ils avaient ouvert un nouveau chapitre dans leur démocratie. Pourtant, sa victoire est perçue comme une menace sérieuse par la Chine en raison de ses positions en faveur de l’autonomie de la population taïwanaise, située à 180 kilomètres des côtes chinoises et composée de 23 millions de personnes. Âgé de 64 ans, le nouveau président a déclaré devant ses partisans que la population avait réussi à résister avec succès aux tentatives de forces extérieures visant à influencer l’élection, faisant implicitement référence à la Chine, qui revendique l’île. Malgré ces tensions, Lai Ching-te a promis de continuer les échanges et la coopération avec la Chine. Vice-président depuis quatre ans, Lai Ching-te, fils de mineur et ancien étudiant à Harvard aux États-Unis, a débuté sa carrière en tant que médecin à l’hôpital de Tainan, dans le sud-ouest de l’île. Élevé modestement par sa mère après la disparition de

Israël : Des rassemblements anti-Netanyahu

Des milliers de citoyens israéliens ont protesté, ce samedi 20 janvier 2024, dans le cœur de Tel-Aviv, réclamant la libération des otages retenus dans la bande de Gaza et appelant à des élections anticipées afin de destituer le Premier ministre Benjamin Netanyahu.

Iran : une puissance expansionniste ?

L’Iran a attaqué le Pakistan, entraînant une riposte de ce dernier contre des caches terroristes. En réaction, le Pakistan a rappelé son ambassadeur à Téhéran. En Irak et en Syrie, les milices pro-iraniennes ont pris pour cible des bases américaines. Les forces américaines et britanniques continuent leurs frappes préventives contre les rebelles houthis, soutenus par Téhéran, qui intensifient leurs attaques contre des navires étrangers en Mer Rouge. Parallèlement, dans le sud du Liban, les échanges de tirs entre le Hezbollah et Israël persistent.

Ukraine : La France dément y avoir des mercenaires.

Le 18 janvier 2024, le ministère français des Affaires étrangères a déclaré qu’il n’y avait aucun mercenaire français en Ukraine, en réfutation des allégations de Moscou, qui prétend avoir visé un bâtiment hébergeant des mercenaires français à Kharkiv le mardi précédent. Le Quai d’Orsay qualifie cette affirmation de nouvelle manœuvre grossière de la part de la Russie, soulignant qu’il est crucial de ne pas accorder davantage d’importance à cette déclaration qu’aux précédentes et aux futures qui ne manqueront pas de surgir.

Comores: face aux tensions, le gouvernement prend des mesures inattendues

Les Comores sont plongées depuis le mercredi 17 janvier 2024 dans un climat de violences suite à l’annonce des résultats de l’élection présidentielle. Les partisans opposés à l’ancien putschiste Azali Assoumani ont exprimé leur mécontentement par le biais de barrages et d’actes de vandalisme. Des affrontements ont éclaté entre les forces de l’ordre et les manifestants, provoquant plusieurs blessés et un décès, potentiellement causé par une balle, selon le Dr Djabir Ibrahim, chef des urgences de l’hôpital El-Maarouf de Moroni. Face à cette situation, le gouvernement d’Azali Assoumani a pris des mesures strictes en annonçant qu’aucune manifestation ne serait tolérée. Un couvre-feu a été instauré dans la capitale de 19h à 6h, et de 22h à 6h dans le reste du pays. Des actes de vandalisme, tels que l’incendie du domicile du ministre des Transports, Bianrifi Tarmidi, ainsi que des dégradations sur des véhicules et des bâtiments officiels, ont été signalés. Ces événements surviennent deux jours après la réélection contestée du président sortant pour un troisième mandat consécutif. Cet incident rappelle les troubles qui avaient suivi son élection en 2019 et qui avaient entraîné la perte de trois vies.

France : Des milliers de protestataires réclament le retrait intégral de la loi sur l’immigration.

En France, des milliers de manifestants ont pris d’assaut les rues de Paris, Marseille, Bordeaux, Lyon et d’autres villes, le dimanche 14 janvier, pour exiger le retrait total de la loi sur l’immigration, votée le 19 décembre 2023 par le Parlement. Cette mobilisation massive vise à maintenir la pression avant la décision cruciale du Conseil constitutionnel le 25 janvier. Les protestataires ont scandé des slogans tels que « Loi immigration, loi raciste. On n’en veut pas, on la combat », bravant le froid depuis la place de la République à Paris, selon les observations de l’AFP. Plus de 400 collectifs, associations, syndicats et partis politiques ont uni leurs forces pour manifester contre un texte accusé de reprendre plusieurs idées de l’extrême droite. La loi controversée, adoptée de justesse par le Parlement le 19 décembre, restreint notamment le versement des prestations sociales aux étrangers, établit des quotas migratoires, remet en question l’automatisme du droit du sol et réintroduit un « délit de séjour irrégulier ». À Lyon, entre 2 300 personnes (selon la préfecture) et 3 000 personnes (selon les organisateurs) ont défilé pour exiger le retrait de la loi. À Bordeaux également, deux à trois mille personnes ont exprimé leur opposition, selon

France : la cour d’appel de Paris rejette les recours de trois enfants Bongo

Trois descendants du regretté président du Gabon, Omar Bongo Ondimba, ont vu leurs appels rejetés par la cour d’appel de Paris le mardi 16 janvier. Ces membres de la famille présidentielle contestaient leur mise en examen dans le cadre de l’enquête vieille de quinze ans sur les biens mal acquis gabonais en France, une affaire emblématique. Selon des informations provenant de sources judiciaires, Pascaline Bongo, la fille aînée et ancienne directrice de cabinet à la présidence du Gabon, a bénéficié d’une annulation d’un acte de procédure, à savoir son interrogatoire en audition libre. Des pièces faisant référence à cet acte ont également été retirées du dossier, selon la même source. Les requêtes en nullité de Jeff Bongo Ondimba, fils d’Omar Bongo, et de Philomène Kouna, sa fille adoptive, ont également été rejetées par les magistrats. L’avocate de Pascaline Bongo, Me Corinne Dreyfus-Schmidt, estime que l’annulation de l’audition libre de sa cliente « tend à démontrer que l’accusation s’est construite en violation manifeste des règles applicables ». Depuis mars 2022, un total de dix descendants du président défunt, qui a dirigé le Gabon de 1967 jusqu’à sa mort en 2009, ont été mis en examen. L’ex-Miss France Sonia Rolland et la BNP font

UE : Hausse en 2023 des entrées irrégulières depuis 2016

En 2023, le nombre d’entrées irrégulières dans l’Union européenne a enregistré une augmentation de 17% par rapport à l’année précédente, atteignant ainsi son niveau le plus élevé depuis 2016, selon l’annonce faite mardi par l’Agence européenne de surveillance des frontières, Frontex. Frontex, dont le siège se trouve à Varsovie, a souligné qu’il s’agissait d’une augmentation significative du nombre d’entrées irrégulières aux frontières en 2023, atteignant 380 000 cas, dont 41% ont transité par la Méditerranée centrale. Ces données annuelles confirment une tendance à la hausse constante au cours des trois dernières années, comme l’a souligné l’agence dans un communiqué. Les deux autres itinéraires de migration les plus fréquentés en 2023 étaient ceux passant par les Balkans occidentaux (26%) et la Méditerranée orientale (16%).

Bénin : Mauvaise nouvelle pour les agents de l’Etat

Dans une communication adressée aux secrétaires généraux des ministères et institutions de l’État, le ministère a informé certains agents gouvernementaux qu’ils ne recevront plus leur salaire jusqu’à nouvel ordre. Le ministère de l’Économie et des Finances a décidé de suspendre la rémunération de certains fonctionnaires en service dans les agences relevant des ministères et institutions d’État. Cette décision, rendue publique par le ministère, entrera en vigueur à partir de ce mois de janvier 2024. Selon la note signée par le secrétaire général du ministère des finances, Alban Bienvenu Bessan, certains fonctionnaires auraient été affectés aux agences et autres structures sous tutelle des ministères et institutions d’État sans que les formalités requises soient préalablement remplies. Il est important de souligner que cette mesure ne concerne que les agents de l’État affectés aux filiales et structures relevant des ministères et des institutions étatiques. Selon les explications de l’autorité, verser leur salaire dans ces conditions constituerait une violation des lois en vigueur au Bénin, notamment la loi n°2015-18 du 1er septembre 2017 et la loi n°2020-20 du 02 septembre 2020.

Ghana : le FMI verse 600 M USD après la restructuration de la dette extérieure

Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé vendredi 19 janvier 2024, le versement immédiat de 600 millions de dollars au gouvernement ghanéen, dans le cadre de son programme d’aide, après l’annonce d’un accord de restructuration de la dette extérieure du pays. Ce nouveau déboursement, validé par le conseil d’administration du Fonds, porte à 1,2 milliard de dollars l’aide d’ores et déjà versée au pays d’Afrique de l’Ouest, sur les trois milliards de dollars en 36 mois prévus par le programme. L’annonce intervient alors que le Ghana a finalisé la semaine dernière un accord avec ses principaux créanciers extérieurs pour une restructuration de sa dette, étape nécessaire pour permettre le versement de l’aide prévue par le programme du FMI. Le gouvernement ghanéen espère que l’approbation du conseil d’administration du FMI incitera celui de la Banque mondiale à examiner un financement de 300 millions de dollars pour le pays. Le FMI a également finalisé son Article IV (sa revue annuelle de l’économie nationale d’un pays) pour le Ghana. Après un ralentissement de la croissance ghanéenne, qui devrait s’établir à 2,3% sur 2023, le Fond estime qu’elle devrait repartir en hausse et anticipe 2,8% en 2024 puis 4,4% en 2025. La reprise de

Ouganda : Début des travaux du 19ème Sommet du Mouvement des non-alignés à Kampala

Les travaux du 19ème Sommet du Mouvement des non-alignés qui se tient sous le thème « Approfondir la coopération pour une prospérité mondiale partagée », ont débuté vendredi dans la capitale ougandaise (Kampala), avec la participation du Premier ministre, M. Nadir Larbaoui, en sa qualité de représentant du Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune. L’Algérie avait réaffirmé, à travers le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, M. Ahmed Attaf, lors de la réunion ministérielle préparatoire du Sommet, son engagement à imprimer un nouvel élan au rôle actif du Mouvement des non-alignés (MNA) dans la conjoncture internationale actuelle et à œuvrer depuis son siège au Conseil de sécurité à la préservation des intérêts de ce mouvement et à la promotion de ses objectifs et initiatives. Prennent part au 19e Sommet, près de 50 Chefs d’Etat et de Gouvernement, ainsi que des responsables d’instances régionales et internationales.

Burkina-Faso : Tentative de déstabilisation, plusieurs militaires et civils impliqués, selon le gouvernement

Le gouvernement du Burkina Faso a récemment fait part de la détection d’un projet visant à déstabiliser le pays. Ce plan impliquait un réseau composé de militaires en service, de militaires radiés et de civils. Selon un communiqué émanant du gouvernement de transition, l’objectif de ce projet était de s’en prendre aux institutions de la République et aurait bénéficié de soutiens extérieurs. La date du 14 janvier 2024 aurait été sélectionnée par les membres du réseau démantelé pour organiser une mutinerie dans différentes casernes militaires. Cette action aurait été suivie d’une intervention d’un commando en provenance de l’extérieur, visant à attenter à la vie de plusieurs autorités de la Transition et à semer le chaos. Le porte-parole du gouvernement a également souligné que des fonds étaient en cours de déblocage et de transfert depuis l’étranger pour financer cette opération. À la suite de ces révélations, plusieurs individus, parmi lesquels le lieutenant-colonel Evrard Somda, ancien chef d’état-major de la Gendarmerie nationale, Prosper Bassole, directeur de cabinet de l’homme d’affaires Mahamadou Bonkoungou, ainsi que plusieurs militaires, ont été appréhendés. Le gouvernement affirme mener des enquêtes afin d’identifier d’éventuelles autres implications liées à ce projet de déstabilisation.

Soudan : l’ONU poursuit son aide et peine à atteindre les civils en raison des combats

Le chef de la mission de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) au Soudan, Peter Kioy, a affirmé vendredi que les équipes de l’ONU restaient au Soudan pour apporter des secours, exprimant sa « frustration » face à l’incapacité d’atteindre des millions de civils qui ont désespérément besoin d’une aide humanitaire urgente. Le responsable de l’ONU a mis en garde contre « la propagation des violents combats entre l’armée soudanaise et les Forces de soutien rapide (FSR) dans tout le pays, et sur ce qui se dit sur la possibilité qu’ils atteignent Port Soudan, à l’est, où travaillent les organisations internationales et humanitaires ». Kioy a souligné que la communauté humanitaire ne peut pas superviser ni accéder aux zones vers lesquelles les gens fuient, ce qui rend « difficile pour nous de garantir les droits de protection internationale qui devraient leur être garantis », précisant aussi que « la situation est très dangereuse, dans certaines zones, et que l’espace humanitaire se rétrécit, le conflit ayant récemment atteint les Etats de Gezira et du Nil Blanc, ce qui signifie que les acteurs humanitaires ont été contraints de partir ». Le chef de la mission de l’OIM au Soudan a ainsi déclaré

Afrique du Sud : Le président sud-africain appelle à l’arrêt immédiat de l’agression sioniste contre Ghaza

Le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, a appelé à l’arrêt immédiat de l’agression sioniste contre la bande de Ghaza, lors de son discours au 19ème sommet du Mouvement des non-alignés, qui se tient dans la capitale ougandaise, Kampala. M. Ramaphosa a déclaré que l’agression sioniste contre la bande de Ghaza démontrait l’« incompétence des Nations unies, en particulier du Conseil de sécurité, où les Etats-Unis ont utilisé leur droit de veto contre un certain nombre de résolutions » critiquant l’entité sioniste. « Nous devons établir un système juste et équitable de gouvernance mondiale, capable de répondre à tous les besoins dans les situations de menace et de préjudice », a-t-il ajouté, avant d’appeler à l’arrêt immédiat de l’agression sioniste contre la bande de Ghaza. Le président sud-africain a souligné que son pays « œuvrait pour empêcher les forces d’occupation de commettre de nouveaux crimes contre les Palestiniens ». Les travaux du 19ème sommet du Mouvement des non-alignés ont repris samedi à Kampala, avec la participation du Premier ministre, M. Nadir Larbaoui, en tant que représentant du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune. Le programme du deuxième et dernier jour du sommet qui se tient sous le thème « Approfondir la coopération

Etats-Unis : Après sa victoire aux primaires de l’Iowa, Donald Trump retourne à son procès en diffamation à New York

Après sa victoire nette du lundi 15 janvier 2024 aux primaires républicaines de l’Iowa et en prévision d’une élection clé dans le New Hampshire, Donald Trump est retourné deux jours après devant le tribunal de New York pour répondre à un procès en diffamation intenté par une autrice qui l’avait déjà fait condamner en 2023 pour une agression sexuelle remontant aux années 1990. Considéré plus que jamais comme le favori des primaires républicaines après sa victoire éclatante au caucus de l’Iowa, le magnat et homme d’affaires de 77 ans a consacré sa journée du mardi au palais de justice de Manhattan pour faire face à Elizabeth Jean Carroll, une ancienne chroniqueuse du magazine américain Elle âgée de 80 ans. Bien que Donald Trump soit resté silencieux lors des débats, il a utilisé son réseau social Truth Social pour attaquer Elizabeth Jean Carroll en déclarant : « Il est à peine croyable que je doive me défendre contre les allégations fantaisistes de cette femme », tout en republiant d’anciens extraits d’interviews télévisées et de messages sur les réseaux sociaux provenant de son accusatrice. Faisant face à au moins six procès civils et pénaux, le magnat de l’immobilier a systématiquement transformé chaque inculpation ou

RDC : RÉÉLECTION DE FÉLIX TSHISEKEDI POUR UN SECOND MANDAT

Triomphalement déclaré vainqueur de l’élection présidentielle par la Cour constitutionnelle avec un solide score de 73,47 % des suffrages exprimés, Félix Tshisekedi, surnommé « Fatshi béton » par ses partisans, s’apprête à entamer son second mandat ce samedi 20 janvier. Selon les informations de l’agence congolaise de presse (ACP), une quarantaine de délégations, comprenant au moins 20 chefs d’État et de gouvernement, sont attendues à la cérémonie d’investiture qui se tiendra au stade des Martyrs à Kinshasa. « La présidence congolaise ne dévoile pas publiquement la liste des invités », précise également l’ACP. Des personnalités telles que le Sud-Africain Cyril Ramaphosa, le Tchadien Mahamat Idriss Déby Itno, le président par intérim du Gabon Brice Oligui Nguema, le Sénégalais Macky Sall, le voisin congolais Denis Sassou-Nguesso, ainsi que le Togolais Faure Gnassingbé, sont « pratiquement assurées » de participer. Les 15 chefs d’État de la Communauté d’Afrique de l’Est devraient également être présents, à l’exception du Kenya et du Rwanda.

FINANCEMENT DU TERRORISME AU SAHEL

Le milliardaire Appolinaire Timpiga COMPAORÉ financerait-il le terrorisme dans la sous-région ? La situation complexe qui règne au Sahel demeure largement opaque. La lutte incessante menée contre le terrorisme par les trois nations de l’AES (Mali, Burkina Faso et Niger) évoque le mythe de Sisyphe, ce personnage de la mythologie grecque condamné à pousser éternellement une pierre vers le sommet d’une montagne, pour la voir inexorablement retomber. Tapis dans l’ombre, des individus formant une nébuleuse, influencent les événements en finançant des activités peu scrupuleuses. Parmi eux, le milliardaire Appolinaire Tiemtiga Compaoré, ex-patron du Patronat burkinabé, se distingue en ayant mis en place de façon délibérée, une institution bancaire qui faciliterait le blanchiment d’argent provenant du commerce illicite de la drogue, de la cigarette de contrebande et d’autres sources au profit de groupes peu recommandables dont les terroristes. Dans leurs incessantes luttes contre le terrorisme, les autorités des nations concernées devraient concentrer leur attention sur ce dernier. Selon nos sources, ici en France, une information judiciaire a été ouverte contre monsieur Appolinaire Compaoré à ce sujet. Nous reviendrons là-dessus dans nos prochaines publications. Alfred Kamal

L’ANCIEN PROCUREUR DOUEU OMER MICHEL SOUTIENDRAIT-IL UN ESCROC INTERNATIONAL ?

Monsieur DOUEU OMER MICHEL, ancien procureur de la République, aurait-il changé de métier pour devenir un défenseur farouche de l’escroc international et usurpateur de titres, Monsieur Vassidiki Diabaté? Ce dernier prétend être Secrétaire Général et Administrateur délégué pour la  Côte d’Ivoire du Réseau des Chambres des Experts Européens Département Afrique de l’Ouest (RCEEDAO),. Cette ONG de droit belge n’est reconnue ni par le ministère de l’Administration Territoriale ni par le Ministère des Affaires Etrangères de Côte d’Ivoire. En Belgique où se trouvait son siège social, un arrêt de la cour d’appel de Bruxelles a confirmé le 21 décembre 2023 la dissolution définitive de l’ASBL RCEEDAO. Les accusations à l’encontre de Vassidiki Diabaté sont d’une telle gravité que peu de professionnels du droit envisageraient de le défendre : usurpation de titres, fabrication de fausses cartes diplomatiques, vente illicite de terrain de plus de 300 lots  à d’honnêtes citoyens et à qui il lui est impossible de fournir un document administratif, etc. Pour rappel, l’affaire « AKELE et les 8 milliards », qui a défrayé la chronique en août 2001 en Côte d’Ivoire, indique que ce procureur, Doueu Omer Michel a toujours été en collusion avec des escrocs. (Voir publications du 09/11/2001 et 08/01/2002 : Dans

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