LA UNE

Doueu Omer et Vassidiki Diabate

L’ANCIEN PROCUREUR DOUEU OMER MICHEL SOUTIENDRAIT-IL UN ESCROC INTERNATIONAL ?

DOUEU OMER MICHEL, ancien procureur de la République, aurait-il changé de métier pour devenir un défenseur farouche de l’escroc international et usurpateur de titres, Vassidiki Diabaté? [..]

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FINANCEMENT DU TERRORISME AU SAHEL

Le milliardaire Appolinaire Tiemtiga COMPAORÉ financerait-il le terrorisme dans la sous-région ? La situation complexe qui règne au Sahel demeure largement opaque. La lutte incessante menée contre le terrorisme par les trois nations de l'AES [..]

ACTUALITÉS

Côte d’Ivoire : Qui sont ceux qui protègent l’usurpateur de titre VASSIDIKI DIABATE en dehors de l’ancien procureur de la république monsieur DOUEU OMER MICHEL ?

Dans notre dernière édition, nous avons rapporté que Monsieur VASSIDIKI DIABATE était activement recherché par la gendarmerie de Côte d’Ivoire et qu’il avait fui le pays. Selon nos informations, à son retour le dimanche 10 mars 2024 de Bruxelles où il avait trouvé refuge sur les conseils de son complice l’ancien procureur de la république près le Tribunal d’Abidjan-Plateau monsieur DOUEU OMER MICHEL qui lui aurait assuré un retour sans danger, il a été appréhendé par la gendarmerie et conduit dans leurs locaux où il a passé sa première nuit de garde à vue. A sa sortie de ladite garde à vue, nous avons réussi à le joindre. Au cours de cette conversation, il a affirmé que de toutes les façons, depuis Bruxelles, il avait déjà prévenu son frère du Groupement de Sécurité du Président de la République (GSPR) qui selon nous, serait l’un des responsables de ladite structure. On peut en déduire, qu’hormis l’ancien procureur monsieur DOUEU OMER MICHEL, VASSIDIKI DIABATE disposeraient d’autres soutiens en Côte d’Ivoire, Nous allons mener des investigations afin de vous révéler l’identité des concernés. Alain JOCAR

« Personne ne peut toucher à seul brin de cheveux de Vassidiki Diabaté en Côte d’Ivoire », selon l’ancien procureur DOUEU OMER MICHEL.

Nous avons réussi à joindre au téléphone l’ancien procureur, DOUEU OMER MICHEL, qui a juré que de son vivant, personne ne touchera à un seul brin de cheveux de Vassidiki Diabaté en Côte d’ivoire. Et, il poursuit en disant que les jours à venir, Vassidiki Diabaté sera de retour à Abidjan et que rien ne peut lui arriver. En cavale, depuis la Belgique, le sieur Diabaté a porté plainte contre un journaliste du nom d’ABDUL K. de l’organe de presse en ligne « OPERA NEWS », qui avait publié des informations concernant sa fuite vers la Belgique lorsque la gendarmerie s’est mise à ses trousses en Côte d’Ivoire. Cependant, une simple analyse soulève des questions : pourquoi n’était-il pas présent à Abidjan lors de la déposition de sa plainte ? Aurait-il quelque chose à se reprocher ? Pour quelqu’un qui ne se reproche rien, il serait venu à Abidjan pour organiser une conférence de presse, informer l’opinion nationale et internationale de sa présence, puis porter plainte. Un magistrat à la retraite, ancien procureur de la république d’Abidjan-Plateau serait-il au-dessus de la loi ? Les réponses à ces interrogations restent à découvrir. Alain JOCAR

VASSIDIKI DIABATE EN FUITE VERS LA BELGIQUE, ACTIVEMENT RECHERCHÉ PAR LA GENDARMERIE NATIONALE DE CÔTE D’IVOIRE

L’usurpateur de titre, Vassidiki Diabaté, un individu de triste réputation, est actuellement recherché par la gendarmerie nationale de Côte d’Ivoire. Il a réussi à échapper à une perquisition à son domicile et aurait quitté le pays. Selon les sources, la gendarmerie a effectué une descente à son domicile dans le cadre d’une enquête en cours. Cependant, Vassidiki Diabaté n’était pas présent lors de cette perquisition. Des informations non confirmées suggèrent qu’il aurait pris la poudre d’escampette. Pour rappel, Vassidiki Diabaté est le soi-disant Administrateur délégué et Secrétaire Général de l’ASBL RCEEDAO de droit belge, dissoute définitivement par l’arrêt de la Cour d’appel de Bruxelles, le 21 décembre 2023. Par ailleurs, cette ONG de droit belge n’a jamais été reconnue par l’Etat de Côte d’Ivoire. La gendarmerie continue d’enquêter sur cette affaire et le recherche activement. Selon nos sources, son complice l’ancien procureur de la République d’Abidjan-Plateau, monsieur Doueu Omer Michel lui aurait conseillé de quitter momentanément le pays afin qu’il puisse arranger son retour avec ses anciens collègues. Affaire à suivre… Alen Foulchir

Au Mali, la junte donne le coup de grâce à l’accord de paix d’Alger

Après huit années d’un fragile cessez-le-feu, le pouvoir militaire à Bamako a officiellement rompu l’accord de paix d’Alger en août 2023. Le communiqué du 25 janvier, annonçant cette décision, a été présenté à la télévision nationale malienne, mettant fin à un accord qui n’existait plus que sur le papier. Le lieutenant-colonel Abdoulaye Maïga a justifié cette rupture en accusant certains signataires de l’accord de devenir des acteurs terroristes et en reprochant à Alger des actes d’hostilité et d’instrumentalisation de l’accord. Les autorités algériennes ont contesté ces explications, soulignant que la décision était préparée depuis longtemps par la junte au pouvoir à Bamako. Les groupes rebelles du Nord, déjà en conflit avec le pouvoir central, anticipaient la rupture depuis l’arrivée de la junte au pouvoir en 2021. Cette rupture officialise une situation déjà présente sur le terrain depuis plusieurs mois, marquée par des affrontements armés et la reprise de territoires par l’armée malienne et ses alliés. La médiation algérienne tentait en vain de maintenir le fragile cessez-le-feu depuis huit ans. La junte a également critiqué l’ingérence supposée de l’Algérie dans les affaires intérieures du Mali, accusant Alger d’actes inamicaux et d’hostilité. Georges Balais

CEDEAO : Le Mali, le Niger et le Burkina Faso se retirent immédiatement.

Trois pays d’Afrique de l’Ouest, le Burkina Faso, le Mali et le Niger, tous dirigés par des régimes militaires, ont annoncé leur départ immédiat de la Communauté Economique des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Cette décision a été communiquée via un communiqué diffusé à la télévision nigérienne. Les relations entre ces pays et la CEDEAO étaient déjà tendues depuis que des militaires ont pris le pouvoir par la force en 2020 au Mali, en 2022 au Burkina Faso et en 2023 au Niger. La CEDEAO, cherchant à restaurer le pouvoir civil, a imposé des sanctions sévères, allant jusqu’à menacer d’utiliser la force au Niger. Les trois pays accusent la CEDEAO d’être sous l’influence de puissances étrangères et de trahir ses principes fondateurs, la considérant comme une menace pour leurs citoyens. Leur retrait de la CEDEAO marque le dernier acte de rupture de leur part.

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